« …Sachant que tu es un garçon fin et attachant, un vrai « écrivain de théâtre », dont la formation est celle d’un comédien qui a fait ses classes dans le parcours classique avec de grands professeurs, souviens-toi que tu ne dois laisser personne indifférent. »
Jean-Claude Brialy – (Comédien, metteur en scène, directeur de théâtre)
« Merci mon cher François pour ton amitié depuis si longtemps. Une fidélité comme la tienne, c’est rare ! Bravo aussi à l’Auteur ! Je croise les doigts pour tes projets à venir. »
Jean-Paul Belmondo – (Comédien, producteur)
« Voilà un auteur intelligent qui a le sens du dialogue. C’est aussi un garçon aimable et bien élevé, ce qui ne gâte rien ! »
Jean-Pierre Darras – (Comédien)
« Tu sais que je serai toujours là pour te lire et te donner mon impression. Un artiste qui doute, ça me plait bien. Le doute amène la réflexion. C’est un état d’esprit qui permet de s’améliorer. C’est comme ça qu’on avance. »
Gérard Rinaldi – (Comédien, chanteur, auteur)
« Jai auditionné le jeune François Bayot que vous m’avez présenté pour reprendre le rôle de Daniel Auteuil dans « Coup de Chapeau » au Théâtre de la Michodière, j’ai trouvé un comédien frais et juste, à l’aise, bien qu’impressionné par moi, a-t-il dit, porteur du charme et de la fougue nécessaires au personnage, mais malheureusement trop jeune physiquement pour le rôle… » (Lettre à Raymond Girard – 1980)
François Périer – (Comédien, metteur en scène)
« Mon cher François, il est impératif que tu rencontres le succès que tu mérites ! Tu es vraiment un excellent auteur et un très bon dialoguiste. Amitié fidèle. »
Francis Perrin – (Comédien, auteur, metteur en scène)
« Quand François m’a confié sa comédie sur Pasteur « La Rage de Vaincre », j’étais un peu inquiète, ayant défendu en son temps « Les Palmes de M. Schutz », que sa pièce soit proche de cet ancien succès, mais il n’en est rien. C’est une bonne pièce, très bonne même, bien écrite, instructive et très théâtrale. »
Suzanne Sarquier – (Agent artistique)
« Un auteur sensible, très habile dans les ressorts dramatiques et dans la construction psychologique de ses personnages. Un grand sens du dialogue. »
Francis Huster – (Comédien, metteur en scène, réalisateur)
« J’ai rencontré là, un très bon dialoguiste dont le style est d’une grande qualité. »
Georges Herbert – (Producteur de spectacles, tourneur)
« J’ai lu « Coup de Poker », c’ est une comédie de mœurs vraiment très drôle et bien écrite. Elle a tout ce qu’il faut pour faire un tabac. »
Michèle Laroque – (Comédienne)
« Merci mon cher François, pour ta fidélité en amitié, vraiment ! Je me réjouis que tu trouves le succès dans ton aventure théâtrale d’auteur. »
Robin Renucci – (Comédien, metteur en scène, directeur de Compagnie théâtrale)
Des personnalités telles que Jean-Claude Brialy qui prend François sous son aile, Jean-Pierre Darras ou Marthe Mercadier, apportent au comédien qui a l’âge d’être leur fils, leur soutien, et lui font faire des rencontres importantes.
Très vite, François fait ses premières armes en synchro-doublage avec Roger Rudel (voix attitrée de Kirk Douglas), directeur de plateau à la Société Parisienne de Sonorisation (SPS) qui double tous les grands films d’Hollywood, puis avec Jean Droze chez PM Productions qui sonorise les films de la 20th Century Fox.
Son amitié avec Patrick Bruel qui à leurs débuts, habite le même quartier et commence à chanter, l’amène à envisager un détour par la chanson. Il écrit et enregistre avec ses camarades musiciens dans les studios de la maison de disques Phonogram-Barclay intéressée par ses compositions, plusieurs maquettes dont il est auteur-compositeur-interprète.
François prête ensuite sa voix à de nombreux commentaires de documentaires, notamment produits par Jean-Jacques Beineix (Cargo Films) Il participe également à plusieurs courts-métrages comme acteur.
Plus tard, il entre dans l’univers du roman pour la jeunesse et écrit plusieurs ouvrages publiés chez Hemma, Nathan Syros, suivi d’un roman à suspense destiné aux adultes.
Puis il se tourne vers l’écriture théâtrale et cinématographique : fasciné par Louis Pasteur et son œuvre, il écrit « La Rage de Vaincre », une comédie qu’il soumet pour avis à son camarade Francis Perrin et qui enthousiasme le comédien. « La Rage de Vaincre » raconte le combat du savant pour élaborer et faire admettre son vaccin contre la rage.
François s’intéresse aussi à la vie de Sophie Trébuchet, mère de Victor Hugo, dont l’existence est un vrai roman. Il écrit « Les Révoltés » .
Dans la foulée, il écrit avec son aîné et ami très cher Gérard Rinaldi, le synopsis d’une version télévisée de la vie de Sophie Trébuchet.
Suit l’écriture de plusieurs autres comédies théâtrales. François est également l’auteur de deux scénarios.
Il n’a jamais délaissé son piano sans lequel il affirme ne pouvoir exister et suit régulièrement les conseils techniques rigoureux de sa coach, une concertiste de grand talent. Il a aussi la passion des chevaux qu’il monte depuis l’adolescence, ayant ainsi acquis au fil des années un bon niveau d’équitation.